Chapitre 2
Lucine et Jonathan avaient passés tout leur après-midi en haut dans la chambre du jeune garçon à se raconter toutes leurs histoires qu'ils avaient passés pendant un an. Il étaient tellement content de s'être retrouvés qu'ils n'avaient mêmes pas fait attention à l'heure qui avait défilée à une vitesse folle. Au bout d'un moment et prit dans la conversation Jonathan dit.
- Mais, moi quand je fais du feu c'est ....Et il arrêta net sa phrase. Il avait failli dire une chose qu'il ne devait surtout pas dire. Sinon on le prendrait pour un fou. Mais cette chose qu'il ne devait surtout pas dévoiler lui brulait la langue. Il voulait le dire, il en avait besoin. Alors il prit une profonde inspiration.
- Ce que je vais te dire là, tu ne dois en aucun cas le répéter Lucine. Je peux en avoir ta parole?
- Bien sûr t'inquiete pas. Répondit-elle
- Ok bon, tu va surement me prendre pour un fous mais j'ai des pouvoirs. Jonathan stressait, il ne l'avait jamais dit à personne, et là il fixait le regard de sa cousine en ce demandant se qui se passait dans sa tête à ce moment là. Elle le prenait peut-être pour un fou, ou bien elle le croyait peut-être. Mais ce qu'elle lui répondit, il ne l'avait en aucun cas prévus. Il s'était apprêté à lui répondre à tout sauf à ça.
- J'ai aussi des pouvoir, lui répondit t'elle. Jonathan resta bouche bé. Pour toute preuve, elle tendit son bras vers l'avant ouvrit sa main vers le haut et se concentra un peu. Soudain, jaillit une sphère rouge qui lévita au dessus de ces doigts. Jonathan en fit de même mais il fit apparaître une sphère verte. Une dizaine de seconde après, ils firent disparaitre les boules flottantes. Un long silence régnait.
- Tu imagine se qu'on vient de faire? Dit Jonathan comme pour briser se silence.
-Totalement et je n'en reviens pas. Répliqua Lucine. Et j'ai une autre chose à t'annoncer repris t'elle: Je vais habiter dans la même rue que toi annonça la jeune fille avec le sourire aux lèvres. Le garçon ne fit même pas attention à ce qu'elle dit, il avait perçut quelque chose d'autre. On les espionnais. Quelqu'un était derrière la fenêtre. Quelqu'un qui leur voulait du mal.